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ISABELLE
ALONSO (le clash des sexes)
Si le colonel Mèche est l’incontestable et indétrônable Son Of a Biatch du Désert du très cool Jour des Morts-Vivants (dernier opus en date de la saga politico-gore amorcée par George Romero en 1969 avec le non moins cool La Nuit des Morts-Vivants), que dire de son génial sidekick, le grand, le large, le bête et le chauve Steel, si ce n’est qu’il est le plus gros Enculé de sa Race Maudite de la terre, le Biggest Motherfucker in da Cave (note : dans le film, les personnages vivent sous terre dans un ancien silo militaire) bref, LE personnage vraiment pénible et désagréable pour qui ne partage pas à fond ses idéaux, ses opinions et n’est pas doté, comme lui, d’une bite et de deux couilles suant la virilité ? C’est un militaire typique à la solde du tyran : vulgaire, sarcastique, raciste, déterminé, brutal, en manque de Rough Sex et d’une misogynie impressionnante. Il martyrise les autres en les insultant, en les humiliant de la pire façon, sans subir une seule fois de réplique cinglante en retour (enfin si, une fois quand même) parce que les autres savent pertinemment que répondre à Steel est aussi efficace que d’insulter le ballon de foot qu’on vient de nous jeter sciemment au visage. Bref, il est oppressant et écrase les autres de sa présence désagréable et séminale. On n’en voudrait pas comme parent, même éloigné. Ses persécutions répétitives et irrémédiables à l’égard de l’héroïne du film, qui fait preuve d’une résistance exceptionnelle, font donc de lui un monument de Haine envers la Femme (haine évidemment doublée d’un désir sexuel bouillant et inassouvi) ce qui nous pousse tout naturellement à nous poser la question suivante : Si une confrontation (verbale ou autre) éclatait entre Steel le bien nommé et la triste représentante du soi disant « féminisme moderne » à la Service Public Bien Pensant de mes Bollocks en Feu Farcies de Frelons Japonais Furieux, j’ai nommé Isabelle Alonso, quelle tournure prendrai donc le conflit ? Nous avons plus ou moins analysé le personnage de Steel, et pour qui désirerait avoir plus de précisions, qu’il se procure le film dont il est un des personnages secondaires, l’expérience n’en sera que plus belle. Il s’agit donc d’un bourrin peu productif et vraiment insupportable, vouant une haine tenace aux femmes qu’il ne peut baiser, préférant les traîner dans la boue et les persécuter de façon parfaitement dégradante. Il aime aussi les armes, grosses et bruyantes, et passe son temps à mâchonner de façon crispante des cigares artisanaux dont on se demande trop souvent s’ils sont allumés, et à se dire qu’il doit vraiment avoir une haleine de charognard. Bref, Steel est très über dans son attitude générale, c’est un costaud, et il le montre en piétinant sauvagement tout ce qui montre des signes d’une quelconque faiblesse. Mais quid d’Isabelle Alonso ? Tout d’abord, sa démagogie constante, ses propos stupides, sa hargne gratuite et spontané envers le mâle et même certaines femelles et son association longue durée avec l’horrible émission de Laurent Ruquier en font une femme visiblement désireuse de deux choses : couper toutes les couilles à tous les hommes de la planète, et en avoir une paire elle-même, si possible avec un phallus de taille respectable et en état d’érection permanente. Ensuite, elle est la représentante la plus médiatique des Chiennes de Garde (nom d’association malheureusement révélateur sur la mentalité de ces femmes qui font honte à toute une admirable génération de féministes plus vaillantes les unes que les autres), qui a pour tâche pourtant louable de porter assistance aux femmes maltraitées par leurs maris, pères ou frères (pas contre les autres gonzesses, cependant) et, de leur apporter les premiers soins, de mener une campagne de prévention certes agressive mais qui a quand même du porter ses fruits plus d’une fois (quoique...) Mais porter assistance aux femmes scandaleusement battues doit-il nécessairement mener à une envie presque explicite d’émasculer tous les hommes de la planète ? Puis bon, bref, Isabelle Alonso est une offense à l’esprit génial dont elle fait l’erreur de se revendiquer plus que publiquement, et c’est à l’occasion de la colère qu’elle génère chez nous que nous nous sommes posé LA question : comment se déroulerait une altercation entre Steel et Alonso ? Tout ceci vu évidemment sous l’angle d’un P.I.M.P qui se respecte.
Steel est avachi derrière une table, la casquette en arrière, en train de sucer son cigare brun et d’astiquer son M-16. A côté de lui, le colonel Mèche est stressant, comme à son habitude. Devant eux, l’émission On a Tout Essayé est en train d’avoir lieu, sans tenir compte des cris ulcéreux du colonel dont la face vire doucement au violet sous le coup de sa colère franchement justifiée pour le coup. Ruquier (à son équipe) : Mais vous savez, si Raffarin ne fait rien, c’est parce qu’il est un rat, et que le rat ne fait rien (Rat-fait-rien/Raffarin) ! Eclat de rire du public en furie, de l’équipe de Ruquier, et de Steel (vous savez, avec ce rire franc et aigu de gros con). Le colonel Mèche est comme fou, il continue de hurler pour essayer de couvrir le rire béat de tout le monde. Alonso (enfin calmée): Oui mais bon Laurent, parler de Raffarin et des rats c’est bien beau, mais n’oubliez pas qu’en France, une femme sur dix est battue par son mari toutes les quinze minutes, et que les hommes sont tous des gros cons. Là, le public se calme aussi, parce que c’est sérieux. Mais Steel a arrêté de rire (Tandis que le Colonel Mèche s’est retourné pour hurler sur les techniciens du plateau qui, heureusement pour eux, ont l’habitude), fixe Isabelle de son regard buté, écrase une canette dans sa main et la jette bruyamment au milieu du plateau. Silence complet qui s’en suit. Il se tourne alors vers Rickles, son sidekick nerveux qui a fermé sa gueule lui aussi, car il sait très bien ce qui va se passer à présent. Steel (sur un ton doucereux, à Rickles) : Dis voir Rickles, est ce que t’as bien entendu ce que la madame vient de dire ? Rickles (avec un vilain sourire) : Putain ouais, Steel, je crois bien qu’elle a dit qu’on était des gros cons, toi et moi, et le colonel. Enfin c’est ce que j’ai compris. Steel : Ouais ouais ouais, c’est bien ce que je pensais avoir entendu aussi… Alonso : Et bien quoi ! Je suis navrée, mais c’est scientifiquement prouvé que tous les hommes sont des gros cons et des obsédés sexuels, regardez Bill Clinton ! Steel (pointant son doigt vers elle tout en tenant son cigare) : Ecoute moi bien salope, on est pas là pour écouter tes conneries de féministe de mes couilles gonflées au steak pur boeuf, alors tu ferais mieux de fermer ta putain de gueule… Pronto ! Rickles éclate de son rire de macaque nerveux et tape des deux points sur la table, Alonso est blanche comme un linge et fixe Steel (qui commence à sourire méchamment) d’un regard de braise. Alonso : Alors là c’est vraiment le bouquet ! Toute l’attitude machiste et phallocentrique caractéristique de notre époque et de tous les hommes vivant sur terre, que je sais critiquer de la manière qu’il faut et tout, et tout, je la trouve incarnée en vous, monsieur ! Quelle vulgarité, c’est vraiment scandaleux ! Steel (portant une de ses grosses paluches à son entrejambe et se mettant debout, la montrant du doigt de son autre main) : Et alors, poufiasse, c’est le pays de la liberté ici, j’ai le droit de dire ce que je veux, et si t’es pas contente, tu peux sucer ma bite ! Hein Rickles qu’elle peut sucer nos bites ? Rickles (en pleurs, trouvant difficilement sa respiration à force de hurler de rire) : Oh bah ouais, elle peut même les sucer deux fois si elle veut ! Elle peut même se les foutre au cul, si ça lui plaît pas, la façon dont le monde tourne ! Steel : Yeah ! Bien dit, Rickles ! Alonso (chocking) : Non mais ça va pas ? Mais vous êtes de véritables hommes des cavernes ma parole ! Steel : (à Rickles) : Ca te rappelle rien, ça ? Rickles (à Steel) : Oh putain si, Steel ! Tu devrais te sentir flatté, mon salaud : tu sais que tous les hommes des cavernes ont des bites énormes ? Steel (riant à gorge déployée) : Ah ouais ? Putain de Dieu, tu tiens ça d’où, t’es donc allé à l’école, dans ton pays de macaques ? Alonso (essayant de couvrir leurs voix et leurs rires) : Mais… Rickles (explosé de rire, presque au sens propre) : Sûrement plus longtemps que toi, gros con ! Colonel Mèche (toujours hurlant derrière): … ENFIN BREF, TOUT CA POUR DIRE QUE C’EST UNE PUTAIN DE GUERRE… Steel (riant outrancièrement fort) : Bah tiens ! Vu le nombre d’années que t’as du redoubler, ça m’étonnerai pas que tu sois resté plus longtemps que moi à l’école, fils de bite ! Alonso (désespérée) : Mais… Rickles (obligé de se cramponner à la table pour tenir debout) : C’est impossible, t’es bien trop con, Steel ! Je suis sûr que si t’essayais d’enculer une chèvre, tu serais capable de lui carrer ta bite dans l’œil ! Colonel Mèche : … ET TOUS CEUX QUI NE SONT PAS D’ACCORD AVEC MOI SERONT EXECUTES SANS SOMMATION… Steel (écarlate) : Va te faire enculer par des bédouins, sale métèque ! Steel soulève la table derrière laquelle il est assis et la jette en direction de Rickles qui a juste eu le temps de filer pour ne pas se la recevoir. Il court en direction de coulisses, y disparaît, et Steel s’apprête à le suivre en courrant. Lorsqu’il traverse le plateau pour se mettre à la poursuite de son sidekick, Isabelle Alonso se jette sur lui pour le frapper. Il la repousse d’une bourrade de l’épaule et elle se met à hurler pour aussitôt avancer dans sa direction. Steel a le temps de pointer son M-16 vers elle. Steel (plus que satisfait) : Bouffe moi ça, salope, à défaut de ma queue et de mes couilles remplies de mon sperme crémeux de mec viril de l’armée des Etas-Unis Libres d’Amérique ! Il fait feu et explose Alonzo, dont des morceaux retombent plusieurs mètres plus loin, un chargeur entier ayant été vidé dans sa tronche de bouffonne. Il part ensuite à la poursuite de Rickles et disparaît du plateau en pleine panique. Colonel Mèche : … ET TOUS CEUX QUI DECONNENT AVEC MES ORDRES SERONT EUX AUSSI EXÉCUTES SANS SOMMATION… Fin. Viendez réagir sur le forum, et peut-être avoir la chance d'attaquer les auteurs en justice.
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