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CHARLIE'S BIATCHES(droles de putes)   

SUITE ET FIN

Max conduisait la pute-mobile en se la pétant grave, toujours dans son survêt. Il sortit un portable (le premier prototype jamais inventé, trente centimètres de long, 1/2 kg et bien voyant, mais tellement moderne pour l’époque !).

_ Allô Charlie ? Oui… Attends, Hé les filles ! Charlie me dit de vous dire que ça devrait déjà être fini, salopes !… Bref, Charlie, écoute-moi bien : on pas pu tirer quoi que ce soit de Greg le zgeg, on a donc laissé tomber cette piste. On va devoir faire de la plongée dans les quartiers chauds, on est en route là.

_ Ok, bon courage connard. Fit Charlie, et Max raccrocha.

Ils arrivèrent bien vite dans le quartier rouge de L.A. et en voyant toutes ces putes, Janice, la plus intelligente, eut une idée :

_ Barbara, tu vas proposer ton cul en échange de renseignements ! S’enjoua t-elle.

La brune n’eut pas le temps d’accepter qu’un horrible nain avec un sac de voyage fût intéressé. Il leur dit que Duke Nukem avait une petite maison sur les hauteurs de Hollywood. Lorsque Simon le nain magicien sortit son sexe afin de profiter de Barbara, Janice tira une balle sur sa bite. Elle était explosée au sol et Janice la piétina en riant.

_ T’avais une grosse queue pour un nain ! Ria t-elle.

Elles rigolèrent toutes, même Max, toujours au volant même si la voiture était arrêtée, et Barbara mit un coup dans le ventre du nain, le faisant vomir.

En arrière fond, couvrant presque les bruits de coups dont le pauvre nain était roué, la voix de Charlie retentissait :

_ Ca devrait déjà être fini, salopes !

LA SCENE EST DANS UN SALON LUXUEUX AVEC PLEIN D’IMAGES DU III ème REICH.

Un vieil homme riche, chauve et nu sous un peignoir parle dans un talkie walkie tandis que Duke Nukem boit un gin en rigolant tout seul. Le vieux, c’est le baron Fritz von Brickman, ancien tortionnaire nazi et plus gros enfoiré de boukak du porno de toute la west coast.

_ Ha ha ha, rigole t-il à Duke Nukem. Mon bon ami Greg le zgeg vient de me dire que trois drôles de putes sont dans L.A. à ta recherche.

_ Tant mieux, dit le gros bourrin en écrasant le verre de cristal dans ses mains. Je vais leur piner la bouche, le cul et la chatte avec mon fusil à plasma anti-alien pour la peine. Si ces trois poufiasses s’imaginent qu’elles vont m’empêcher de niquer pour fêter mon retour à L.A. elles se trompent lourdement ! Je suis là pour baiser, putain de vietnam… Et arrête de te branler quand je fais un discours de guerre, ça me gêne. Je disais quoi déjà ? Ah oui ! Il y a de l’agrandissement de cul dans l’air, crois-moi Fritz. Est-ce que tu as la voiture que je t’ai demandée ? Et ce pistolet à sperme, il est prêt ?

_ Bien entendu Duke Nukem, j’ai tout ce que tu m’as demandé, dit le baron en étalant sa jute le long de sa robe de chambre. Je propose tout de même qu’on leur tende un piège incessamment sous peu à ces poufiasses, qu’on les attire dans un gay-tapant si tu vois ce que je veux dire… Greg le zgeg est en pleine coloscopie pour une histoire de balles de ping pong que j’ai pas trop saisie, donc on attendra qu’il sorte des urgences pour organiser notre plan…

Environ deux heures plus tard, nous retrouvons les méchants dans un night-club plein de putes de champagne à 500 dollars le verre plein de jus de raisins de merde. Le baron pelote quatre jeunes filles, et une cinquième s’occupe de Duke Nukem, assit au bar.

_ Greg le zgeg ne pourra pas venir au fait, dit-il en se faisant sucer le bout. Des indics à moi l’ont retrouvé mort avec des tortues de Floride vivantes dans le cul. Sans doute un règlement de compte.

_ Bah ! Fit le Baron Brickman. Il est mort par là où il a péché ! C’était un bon élément, mais sa mort ne me contrarie pas beaucoup… Le seul truc c’est qu’on a poireauté en attendant de ses nouvelles pendant qu’il était en train de se faire rentrer des tortues marines dans le derche par ses créanciers. Enfin bon bref, ce que je propose comme plan d’éradication, c’est qu’on appelle ces trois putes et qu’on leur fasse croire qu’on veut les rencontrer. En fait, dès qu’elles arriveront devant nous, on les butera !

_ Quelle idée géniale baron ! Fit Duke Nukem. Ca va faire deux semaines que je me retiens de décharger depuis mon retour à L.A. en attendant une occasion comme celle-là…

Ils exécutèrent froidement les cinq putes pour pas laisser de preuves et partirent en direction du parc Astérix. Sur l’obelix’s super eight (le grand huit), ils imaginèrent leur plan un peu plus en détail.

_ Il me faudrait un nouveau frigo, dit le Baron, le mien est en panne, ce qui me gonfle pour la pâtée de Hess, mon berger allemand de quatorze ans.

Ils convirent donc de remettre leur plan à plus tard et continuèrent à s’amuser.

Pendant ce temps-là, nos trois héroïnes s’acharnaient toujours sur le cadavre du nain tandis que Max les regardait faire.

_ C’est bon les filles, dit-il. Laissez le magicien tranquille, il pourra plus se servir de son putain de sac de merde maintenant.

_ C’est vrai, dit Barbara. On sait maintenant que Duke Nukem a une maison sur les hauteurs de Hollywood, si on allait la fouiller en quequette d’indices ?

Et ils partirent en direction de l’endroit indiqué. Sur l’intercom, Charlie :

_ Ca devrait déjà être fini, grosses putes de merde ! Les filles pleurèrent.

_Charlie est drôlement méchant, dit Janice. Et puis Duke Nukem a bien changé depuis qu’il a sauvé la terre je trouve… n’empêche que j’ai bien envie qu’un chien me défonce la chatte.

La pute-mobile s’arrêta devant la maison du bourrin. La demeure était sombre, les étroites fenêtres ne laissaient pas passer la lumière de jours meilleurs, comme disait Charlie. Et en parlant de lumière, y’en avait justement pas à l’intérieur ! Ils entrèrent tous les quatre, quittant l’extérieur où régnait la nuit noire (noire comme la bite de Malcolm X.com dixit le baron) pour entrer dans la maison obscure. Max alluma la lumière, révélant un spectacle infâme.

M.P.T. (Miguel’s Personnal Touch) : Sur un luxueux fauteuil en peau de fesse de babouin, le fauteuil personnel de Duke Nukem, se trouvait son ancien bras droit, le colonel Bigass. Mort les yeux pleins de larmes, il s’était branlé si fort que son prépuce avait explosé. Le spectacle était horrible et le magnétoscope encore allumé finissait de projeter une des multiples de scènes de barbarie sexuelle du tristement célèbre « Médecins du sexe : fracture ou sodomie ? » (Medical Anal Ass Intervention Fucking pour la V.O.). Les répliques redondantes résonnaient dans la pièce silencieuse : « Putain de salope, j’ai jamais tronché un cul aussi serré ! Mais tu la sens, hein ? Réponds sale pute, tu la sens ? » Fin du M.P.T.

Max s’était bouché le nez. _ Mais bordel, ça sent le prépuce carbonisé ici ! Dit-il, et lorsqu’il jeta un coup d’œil à la télé, il devint (presque) blanc. Putain de sa race ! Mais… Mais… Mais regardez ! C’est Janice quand elle était petite qui est en train de se faire empaler le cul sur la bite éléphantesque de l’aide-soignant !

(Musique chocking)

Janice commença alors à pleurer et avoua qu’elle avait tourné dans des films hardcore interraciaux et animaliers pour payer ses études de CM2. Mais c’était du passé et elle regrettait, ça lui faisait du bien d’en parler à ses amis.

_ Bon heu… C’est pas le plus important, dit Max. Oublions cette histoire, je prendrai la cassette tout à l’heure pour l’examiner chez moi… En attendant, éteignez la lumière et prenez vos mag-lite, ça fera plus stylé si on fouille la maison avec des lampes torches ! Duke Nukem, au-delà des apparences, avait des goûts délicieux : Max et les filles découvrirent l’intégrale de Dallas en cassettes vidéo (plus de 350 VHS contenant huit épisodes chacune), une collection de motos miniatures, un miroir avec des petites lumières autour, une photo de lui bébé (déjà une bite énorme) et plein d’autres artefacts témoignant de son goût pour l’horrible.

Au bout d’un moment, Max tomba sur quelque chose d’intéressant.

_ Hey les filles, au bout d’un moment je suis tombé sur quelque chose d’intéressant, venez voir.

_ Yeah Max, c’est une adresse on dirait, fit Janice.

Elle prit le papier qui était collé au frigo et le lut.

_ Ouais, fit-elle, c’est l’adresse du Pee’n’Poop Masta Klub, le célèbre bar SM/uro-fécal/animalier qui accueille tout le gratin de L.A.

_ Hmm, dit Fistula. Peut-être qu’on devrait aller y faire un tour, si cette adresse est là, c’est pas pour rien.

Et nos bonasses accompagnées de leur boss, repartirent de chez Duke Nukem, après avoir bandé, pété et mouillé dans toutes les pièces de sa maison pour se venger.

Le Pee’n’Poop Masta Klub avait une devanture sobre, pas du tout révélatrice de ce qui se passait à l’intérieur. Seule l’odeur de caca qui s’échappait de temps en temps de la porte d’entrée à chaque fois que quelqu’un entrait ou sortait aurait pu renseigner qui que ce soit sur la nature des festivités ayant lieu dans cet établissement.

Le propriétaire, un certain Jonathan Lambert, très bon ami de Charlie, Max et les drôles de putes, accueillit Max et nos héroïnes à bras ouverts (et l’anus aussi dilaté que s’il s’était largué en parachute sans parachute au dessus d’un séquoia taillé en pointe)

_ Ah, mes bons amis ! Vous êtes venus vous faire faire caca dans la bouche ?

_ Non M. Jonathan, fit Max, nous sommes à la recherche de Duke Nukem.

_ Je suis là bande de sales pédés ! Hurla Nukem.

Et tout explosa et des morceaux de drôles de putes volèrent dans le ciel, et retombèrent sur le sol encore tiède des ébats sordides du Pee’n’Poop Masta klub…

FIN ...?

 

 

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