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MASSIMO GARGIA, l'homme de l'Espace

Depuis son fracassant come-back au printemps 2004, la France entière connaît le célèbre gigolo pachydermique à l'inénarrable accent de rital tête-à-claques, Massimo Gargia, le bien-nommé. En effet, tout le monde a entendu parler de "la Ferme des Célébrités", émission rustique et cynique, où l'on exhibe les has-been comme autant de quartier de viande avariée. Justement, son retour ne vous semble-t-il pas étrange, comme forcé, et artificiel, comme si la France entière se devait d'applaudir le retour programmé de ce pot de rillettes milanaises? Une enquête de longue haleine a été menée, autant vous dire que la vérité ne sera pas facile à accepter...

Considérons d'abord ce que nous savons de sources sûres et certaines. Massimo est un infâme porc fornicateur, fourreur de vieilles peaux à la façade plus ravalées que certaines ambassades, ça, c'est acquis. Ajoutons aussi qu'il s'agit d'un jet-setteur italien. Ma déontologie toute journalistique et mon professionnalisme m'empêche de m'étendre sur le sujet, mais de vous à moi, nous savons tous que c'est un sacré connard.

 

Mais c'est un connard riche, et en ce bas monde, tout s'achète que ce soit les pouff...les femmes, le luxe, ou même l'honneur, qui se négocie à prix d'or chez certains médias. Vous allez me dire -et vous aurez raison- "faire caca au fond d'un jardin en friche entouré de poules et de cochons, niveau honneur, on a trouvé mieux". Certes, mais cela a permis à ce pourceau baveux de faire l'apologie de l'arrivisme, du "si il faut coucher pour réussir, faites-le!" sur notre belle télévision française.

Aussi n'irais-je pas par 4 chemins pour dévoiler l'intolérable vérité : Massimo est le tout premier fruit de l'hybridation homme machine! Oui, vous ne rêvez pas, cette merde sur patte est en fait une machine, ou plutôt un mélange, moitié homme, moitié robot, 100% connard. Pardon, ça c'est une blagounnette de mon cru.

Issu de la nanotechnologie, Massimo est le fruit d'expériences secrètes du KGB entre les années 30 et 40, alors même que les nazis à l'époque cherchaient l'Agharta, et que les USA se disaient que tiens, si on inventait une drogue psychédélique pour créer une génération de pacifistes neuneus qu'on pourra tabasser publiquement. Belle époque donc, où l'on s'asseyait sur les conventions comme sur un intermittent (ou un retraité, ou un anti-OGM, ou un... en fait, ça marche avec pleins de trucs), et où des esprits se démarquant par leur génie, leur mégalomanie, et leur profonde perturbation mentale se rencontrèrent un soir froid et sec, dans une base souterraine, à 20 km au nord de Leningrad.

 

Ils élaborèrent donc à plusieurs le concept d'une machine vivante et pensante, qui repousserait toutes les limites établies de l'humainement acceptables. Objectif atteint donc, avec une confirmation, pas vraiment nécessaire 60 ans après. Bon, les popov ont une sacré bonne idée, mais c'est pas tout d'avoir des idées, il faut des moyens, et leur base secrète ultra-moderne, c'est pas avec la vente du muguet du parti communiste qu'on leur a payée. Alors, le coeur gros, ils couchèrent sur le papier toutes leurs belles théories, et envoyèrent une jolie carte postale à leur ami Mengele qui en fera bon usage. Mengele qui lui s'amusa bien à faire tout un tas d'expériences pour l'amour du progrès scientifique, mais qui ne menèrent à rien, parce que c'est un sacré blagueur dans le fond, incapable de rester sérieux cinq minutes. Il faut donc attendre encore quelques années avant que les labos américains récupèrent tout ce beau bordel (Mengele était un garçon très désordonné, sa maman le grondait souvent pour qu'il range sa chambre), et puissent mettre de vrais moyens dans l'affaire.

 

De leurs toutes premières expériences naquirent quelques créatures difformes dont certaines se seraient échappées dans la nature, mais il est évidemment impossible de prouver ces rumeurs. Seules les noms de code des créatures (Pernaut Jp301x2 et Evelynethomas-connasse3000) ont été déclassifiés par l'État US, l'affaire est depuis classée sans suite.

 

Un beau matin de 47, v'la-t-y pas qu'un extra-terrestre tout gris, tout visqueux, beurré comme un p'tit Lu nous tombe dans le désert mexicain, et nos amis ricains sur le coup de le récupérer dare-dare, pour éviter que les chicanos se sentent plus pisser d'avoir un super vaisseau de la mort qui leur changerait drôlement de leurs twingos turbo diesel. Bref, qui dit E.T dit encore expérience, et donc avancée technologique de ouf. Nos scientifiques piochent donc des petits bouts d'ADN extra-terrestre sur l'alien que nous appellerons "Bob" car il a tenu a garder l'anonymat, et ça se comprend.

Bob s'est donc fait charcuter jusqu'a mi-cuisse, et s'est même fait découper en rondelle le haut du crâne que même sa maman, tout E.T visqueux qu'elle était, elle a pas arrêter de crier et de courir partout quand il est revenu sur sa planète. Il est à noté que Bob est sur la liste d'attente des clients de Maître Vergès (avec E.Presley pour son procès "non, je ne suis pas mort, laissez-moi toucher le RMI, bordel, ma femme scientologue m'a tout piqué"), pour un hypothétique procès contre le département fédéral du charcutage des aliens bourrés qui se plantent dans le désert (le USFDFDAWFITD, pour les intimes), mais ce département étant secret, ça n'est pas gagné d'avance si je puis me permettre.

 

 

Mais revenons à Massimo qui végétait dans une capsule pleine de flotte verte fluo. Selon les rapports de l'époque, il avait la taille de Philippe Gildas, la voix de Christine Bravo, et le QI d'une poule texane. Alors qu'il allait être bientôt détruit, puisque raté (et sûrement finir présentateur sur francetélévision), un scientifique américain que nous appellerons "Bob2", pour des raisons de commodités à l'idée de mélanger les deux ADN, ce qui ferait un mix de trois ADN finalement (humain, robot et Bob, l'alien, truc de guedin). Grand mal lui a pris, la base secrète (encore une) explosa, et Bob2 se retrouva au chômage, viré par son supérieur que nous appellerons pour des raisons de commodités "Donald Rumsfeld".

Au beau milieu des cendres fumantes et encore tièdes de l'explosion subatomique de l'ex-base secrète qui avait dès lors atterri sur un KFC, se trouvait un homme à la silhouette féline d'une femmelle hippopotame enceinte, arborant une crinière blonde et permanentée. Nu en plein désert, Massimo marcha cinq jours et six nuit durant, sur le sable chaud de l'Arizona, et glissa comme un con dans un tunnel secret qui l'amena directement en Italie (il y a beaucoup de tunnels de ce genre en Arizona, faut pas chercher à comprendre). Et là, c'est le drame. Son esprit encore vierge et malléable se forgea au contact de la racaille méditerranéenne, et s'abreuvait de leur sous-culture musicale et cinématographique.

Quelques décennies plus tard, nous savons tous ce qui arrivait, Massimo devenait jet-setteur, et plongeait encore un peu plus à travers les bas-fonds de l'humanité. Fort de son succès sur la triste première chaîne française, Massimo nous fait l'affront de sortir un single (téléchargeable sur notre site), qui selon nos sources les plus alarmistes prétendraient que certaines personnes gravement dérangées auraient acheté. Mais sans nous étendre sur l'hallucinante nullité du morceau proprement dit, il faut savoir que les paroles certes pitoyables peuvent s'interpréter à différent niveaux, niveaux qui font plus qu'explicitement référence à ce que nous savons sur notre cochon milanais. Passons aussi sur le fait que ce soit une reprise de la déjà odieuse "Dragosta Din Tei", chant bulgare qui fera l'objet d'un autre dossier pour ses messages subliminaux concernant le peuple de ratons laveurs souterrain.

Déjà le refrain, "Ma c'est qui? Massimo!" nous indique que non soupçons étaient fondés. Massimo en plus d'être une truffe est un sombre inconnu que l'on exhibe sur une chaîne publique française, et en prime-time s'il-vous-plait. La tarlouze qui nous inflige ses vocalise nous le répète une bonne vingtaine de fois, des fois qu'on ait pas compris, quand soudaine retentit une sonnerie de téléphone portatif. Référence plus que claire à E.T de Spielberg et son "téléphone-maison"; quand on connaît les conditions d'engendrements de Massimo, cela fait froid dans le dos, brrr. On entend enfin la voix de Massimo qui dit je cite : "Allo, pronto, c'est moi Massimo, je t'appelle, ma chérie, de Saint-Trop', c'est la fête!". Bien, passons sur le fait que sur une base numérique cabalistique, l'addition des lettres donne 666 (chiffre du Diable), et voyons les choses en face : Massimo parle clairement de la base secrète d'où il vient, en parlant de Saint-Tropez. S'ensuit une truie qui l'appelle d'un de ses nombreux nom de code, "Playboy", je crois que c'est clair pour tout le monde

Nous sommes ensuite obligé de subir une immonde apologie de la jet-set et de la culture people assez vomitive. La dite-truie semble s'amuser comme une folle à se trémousser comme un sac à purin, et à arborer une quantité assez odieuse de diamant (référence symbolique à la planète Orion, planète de Bob, ndlr). Je crois qu'il n'y a pas besoin de développer d'avantages, les faits parlent d'eux-mêmes.

Bien évidemment, nous sommes bien conscient que très peu accepterons l'incroyable vérité concernant Massimo Gargia, mais que voulez-vous? Le BADASS Incorporated fait son devoir, tout simplement, peu importe les conséquences. Et c'est pas un gros lard avec un accent de bouffeur de spaghettis qui nous empêchera de faire notre boulot, nom de Dieu.

 

BADASS Inc.(c) est une marque presque déposée par l'entreprise du même nom. Toute reproduction interdite, même si de toutes manières, je peux pas savoir si un tel a reproduit un texte ou pas. Mais si j'en chope un, j'peux te dire qu'il va prendre pour tous les autres, ça fera pas un pli. Certaines parties du site sont interdites aux mineurs, pareil, si j'en chope un, je lui nique sa race, avant de le dénoncer à ses parents.