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B.H.L, le "oui", et autres joyeusetés

 

Pendant la campagne du référendum au sujet de la constitution Européenne, les partisans du « Oui » ont à plusieurs reprises insisté sur le fait que les gens qui votaient « Non » étaient tous des xénophobes, sous éduquées, mal renseignés, bref que c’était de gros cons. Parmi ces défenseurs de l’honnêteté intellectuelle, ces inspecteurs des travaux finis, ces génies du mépris pour la masse servile et abrutie, on trouve bien sûr une de nos hontes nationales les plus cuisantes, à savoir l’écrivain à succès Bernard-Henri Lévy. Mais si, vous savez, le ringard avec la chemise et les cheveux, maqué avec le cadavre qui chante.

 

Et bien figurez-vous que le bonhomme est tellement outré que les Français aient massivement exprimé un désaccord complet avec son point de vue sur la question, qu’il n’a pas tenu compte de la fin de la campagne ainsi que du résultat définitif du référendum et qu’il continue encore de pondre des articles pour dire à quel point avoir voté « Non », c’est Mal. Dernièrement, Bernard-Henri (dont le culot et la malhonnêteté intellectuelle me gonfle l’anus de joie et d’admiration) a trouvé le moyen de nous dire à nous français, peuple de la Collaboration active avec l’occupant Allemand pendant la dernière Grande Guerre, qu’avoir voté « Non », c’est à peu de choses près avoir chié un bel étron riche en fibres et en senteurs enivrantes sur tout le travail et les concepts énoncés par les philosophes du siècle des Lumières, et en particulier sur Kant. Et d’en avoir retiré une grande fierté.

Alors inutile de vous cacher qu’on a beaucoup ri quand on a lu ça, ici chez Badass Inc. Et dans le souci d’objectivité pure et juste qui nous anime presque quotidiennement, on a décidé de rendre la pareille à M. Lévy et à tous les autres blaireaux épais qui font chier tout le monde avec leurs arguments à la con au sujet de cette constitution dont une majorité de citoyens, à tort ou à raison, n’a pas voulu, en France et ailleurs.

Avec force courage et glorieux idéaux philosophico-sociaux brandis à la face inculte d’une masse d’européens d’en bas, faisant fi de tout principe républicains et applicant leurs fesses boudinées sur ce qu’on appelle vulgairement la « démocratie », de sombres connards comme BHL ne semblent pas vouloir adapter leur comportement à cet état de fait, certes provisoire, adressant du haut de leur tour d’Ivoire des reproches si peu inventifs et gavés de mauvaise foi qu’on en rit à gorge déployée, choisissant une solution de facilité pour dire aux Français que ce sont tous de gros fachos stupides analphabètes, et que c’est cette raison, et cette raison seule qui explique le résultat du référendum. Si le peuple était moins con, il aurait choisi comme choisissent les Etres Supérieurs, il nous ferait pas chier à essayer de contredire l’Elite qui n’est pas à sa place, voici ce que Bébère nous explique en substance, lâchement dissimulé derrière un usage pompeux d’une dialectique fourre-tout où l’on trouve autant de philosophie que d’idéal social.

Alors si une merde comme lui peut se permettre de tels écarts moraux, pourquoi pas nous ?

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Si on se penche un peu sur les gens qui ont soutenu le « Oui » au cours de cette campagne, on se rend compte qu’il s’agit sans aucun doute d’habitués du tourisme sexuel Thaïlandais. Favorisant les délocalisations pour se donner une meilleure conscience, les ouitistes cherchent a donner du travail à ceux qui leur fournisse de la chair a fourrer. Comme Julien Courbet, qui a une tête à ça, les ouitistes sont des pédophiles qui défendent la suprématie Européenne à travers la ratification du traité constitutionnel, uniquement pour se garantir une place au chaud dans des petites miches mineures à l’autre bout de la planète.

 

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Les ouitistes, ce sont aussi ces connards et connasses qui ont provoqué les attentats de Londres en voulant de Paris comme ville organisatrice des J.O. de 2012, car le « oui » à la Constitution Européenne, en plus d’être un « oui à Giscard d’Estaing, c’est un « oui » à Ben Laden.

 

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Le Maréchal Pétain et Pierre Laval n’auraient pas désavoués la France du «Oui».

 

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Soutenir le « Oui », c’est avoir été du côté de la peste bubonique, du sida, du cancer et de Jean-Pierre Pernaut pendant plusieurs jours d’affilée. Sans honte.

 

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Luc Besson.

 

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Le « Oui » à la constitution, c’est le « Oui » à la zoophilie de masse, aux pornos diffusés à l’heure du goûter en clair et au retour de Dorothée sur les écrans de télé.

 

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La France du « Oui », ça aurait été avoir Jar Jar Binks comme premier ministre.

 

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Si le « Oui » était passé, Dieu serait mort.

 

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Le «Oui », c’est faire commencer la semaine le mercredi.

 

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Voter « Oui », c’est faire du sexe avec une peluche d’Ariel Sharon.

 

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Les 800 articles de la  Constitution Européenne ont été écrits avec des stylos Bic, une aide considérable a donc été apportée à cette société qui finance les khmers rouges. Et tout le monde sait que Giscard = Pol Pot.

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Le TCE force chaque pays membre à construire un dauphin géant en papier mâché avec le sigle de l’OTAN tatoué sur la nageoire. Chaque enfant européen se verra obligé de faire un bisou au dauphin géant chaque année.

 

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Le "Oui", c'est se soumettre à Ashtar Sheran, Grand Commandeur de la flotte Galactique. Ashtar au pouvoir, c'est avoir de la guimauve à la place du zizi, et pisser de la chantilly.

 

 

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