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POURQUOI FAUT-IL DETRUIRE LE CANADA.

 

En France, on entend souvent dire beaucoup de choses à propos du Canada et plus particulièrement du Québec. Qu’en est-il exactement ? Les Canadiens sont-ils aussi inintéressants qu’on les dépeint généralement ? Les Québécois sont-ils aussi vulgaires et stupides qu’on peut le penser en voyant les quelques exemplaires que l’on a parfois le malheur de croiser en France ? Comme nous allons le montrer dans cet article, la situation est en fait bien pire.

 

Le Canada, un pays sans âme

 

Les étrangers ont coutume de dire à propos de notre pays : « La France est un beau pays, dommage qu’elle soit habitée par des français ». On pourrait dire la même chose du Canada, si ce n’est qu’il faudrait ajouter que le Canada n’est pas particulièrement un beau pays. Parce que bon, faut pas déconner, la neige et les grandes forêts c’est sympa 5 minutes, mais ça partout, à longueur de temps dès qu’on sort des villes, c’est gavant. En plus, dès qu’il y a une tempête de neige, ce qui arrive régulièrement en hiver, les routes en campagne sont difficilement praticables.

Un canadien qui passerait par là me rétorquerait sûrement, avec un accent risible que je ne chercherais pas à reproduire ici : c’est pour ça qu’on a inventé les motoneiges, invention canadienne de la société Bombardier (on notera que cette société, fierté nationale, a récemment arnaqué le pays en se faisant payer des millions de subventions pour garder ses usines au Canada, tout ça pour construire des avions pourris et pour licencier finalement à tour de bras. Sont cons ces canadiens). Ah ça ils en sont fiers de leurs motoneiges bruyantes et laides. Faudrait juste qu’ils apprennent à s’en servir, parce que quand on voit le nombre affolant de morts par accidents de motoneige chaque année, on rigole franchement.

Dès lors, au vu de l’inintérêt des campagnes, si on a un minimum de bon sens on reste dans les villes. Enfin villes, le mot est un peu fort pour désigner les juxtapositions d’immeubles et de maisons que l’on désigne sous ce mot au Canada. En Europe, les villes ont une histoire, une vie propre, des monuments historiques et des lieux sympathiques et pittoresques. Au Canada non. Ce pays a été construit à partir de rien (la base indienne ayant été reniée et parquée dans des réserves) et n’a donc aucune âme, ce qui se ressent profondément dans leurs villes mornes et moches (l’exemple le plus caractéristique est sans doute Ottawa, ville construite puis promue capitale du Canada juste pour pas que ce soit au Québec).

D’ailleurs, parler d’une identité canadienne est une ineptie. Pour le comprendre il suffit de regarder leurs symboles nationaux : le sirop et la feuille d’érable, le caribou, le hockey et le sweat marqué Canada… Mais dès que l’on cherche quelque chose d’un peu plus vrai, d’un peu plus typique, on ne trouve qu’un grand néant. A Montréal par exemple, la plus grande ville du Québec, personne n’a été en mesure de me guider vers un magasin typique Canadien ou Québécois, et le seul conseil qu’on me donnait était d’acheter du sirop d’érable, cette substance sucrée indigeste qu’ils utilisent pour toute sorte de produits plus douteux les uns que les autres.

On notera au passage l’absence de cuisine traditionnelle décente dans ce pays. En clair, si l’on veut manger correctement il faut aller dans les restos asiatiques ou européens, en évitant à tout prix les (pas assez) rares restos québécois. On pourra ainsi ne pas avoir à subir les quelques rares plats québécois, au premier rang desquels figure la poutine, probablement une des pires spécialités culinaires du monde, qui rivalise en ignominie avec les spécialités anglaises : la poutine est en effet composée d’une masse indicible de frites molles huileuses, recouvertes de fromage plus ou moins fondu (enfin d’une chose informe qu’au Québec ils appellent fromage mais qui en France sert généralement à colmater les fenêtres) et d’une sauce brun vert dont on ne cherchera pas à connaître la composition pour le bien de sa santé mentale. Ce plat propre à effrayer les plus insensibles est très apprécié des autochtones, ce qui prouve bien l’ampleur de leur manque de goût.

 

 

cliquez sur l'image pour contempler l'horreur canadienne en gros plan

 

On notera enfin, pour en finir avec la « culture » canadienne ou plus particulièrement québécoise, la force au Québec de l’anti-américanisme. Les français à côté paraîtraient presque modérés. Quel problème à cela diront les plus virulents des lecteurs ? Et bien c’est que ces crétins de Québécois ne réalisent pas que plus de 80% des échanges du Québec s’effectuent avec les Etats-Unis et qu’ils sont totalement américanisés. A tel point qu’une bonne partie des reproches qu’ils font aux américains s’appliquent également à eux-mêmes, mais ils ne s’en rendent pas compte, leur étroitesse d’esprit ne permettant pas le recul.

 

Le Québec, ou les méfaits de la consanguinité

Attardons nous à présent sur le Québec, la « belle province » (il serait intéressant au passage de savoir quel était le degré d’alcoolémie moyen de la personne qui a donné au Québec cette devise), ou, plus exactement, sur les Québécois. Non pas qu’ils méritent une quelconque attention, bien au contraire, mais il peut-être intéressant de savoir à quoi s’attendre avant de rencontrer ces personnages (car, oui, c’est dur à admettre, mais les spécimens que l’on rencontre parfois en France font parti des exemplaires les plus présentables !!).

La première chose qui frappe lorsque l’on arrive au Québec et que l’on commence à discuter avec des autochtones, c’est leur vulgarité, leur grossièreté, leur singulier manque de classe. Ce fait frappant et indiscutable ne provient pas tant de leur accoutrement – bien que les affreuses chemises à carreaux et les chapeaux à oreilles de teckels n’aident pas vraiment – mais plus de leur langage. En effet, non seulement leur accent est absolument ridicule, mais en plus ils ne peuvent s’empêcher d’utiliser un langage grossier et de parler de sexe tout le temps et de façon inappropriée. Si cela peut paraître pittoresque au départ ou lorsque l’on vient juste une ou deux semaines en vacances, leur langage devient insupportable lorsque l’on doit pendant plusieurs mois supporter quotidiennement les québécois. Même les québécoises, pourtant assez mignonnes en général, deviennent repoussantes dès qu’elles disent deux mots. Ajouté à cela une façon d’être également très vulgaire (notamment un sans-gêne assez étonnant), et une intelligence qui nous laisse à penser qu’une trop grande promiscuité et une volonté de rester entre francophones a dû les conduire à un taux de consanguinité élevé, on en vient au bout de quelques mois à détester profondément tout ce qui ressemble à un québécois.

Certains esprits naïfs pourraient alors se dire : et bien cherchons à discuter avec eux d’autres choses que de sexe (ce qui est déjà un exploit en soi), essayons de distraire un peu leur esprit simple vers un autre sujet pour voir s’ils sont aussi primitifs qu’ils en donnent l’air. Grave erreur. Car lorsqu’ils ne parlent pas de sexe, ils parlent de l’autre sujet qui leur tient à cœur : la souveraineté du Québec. On arrive alors sur un sujet très sensible car il faut savoir, ce qu’on ignore souvent en France, qu’au Québec environ 50% des gens sont souverainistes, pourcentage qui est bien plus élevé si l’on considère juste les francophones. Et ces souverainistes sont complètement cons et intolérants : ils s’imaginent que la souveraineté du Québec signifiera la fin de tous les problèmes, ne cherchant même pas à savoir les réalités de leur province et les conséquences réelles qu’auraient une indépendance du Québec. Ce qui est très fort, et qui illustre bien la profondeur de leur bêtise, c’est que les souverainistes sont souvent les plus anti-américains, alors qu’une indépendance du Québec ne ferait qu’accrocher la province encore un peu plus au giron des Etats-Unis.

Dès lors, ce qui n’est guère étonnant et caractérisent les faibles d’esprit, chez les souverainistes le gouvernement fédéral et les canadiens jouent le même rôle que les étrangers et dans une moindre mesure que l’Europe chez les extrémistes français. En clair, lorsqu’il y a un problème c’est de la faute du gouvernement fédéral ou des canadiens (voire des anglophones), et jamais, bien sûr, des vrais québécois francophones. Ainsi, en ce moment, les étudiants québécois sont en grève depuis plus d’un mois car ils réclament la récupération de 103 millions coupés par le gouvernement québécois dans le programme de bourses. La semaine dernière, un compromis a été trouvé entre les 2 principales centrales syndicales étudiantes et le gouvernement québécois, entente qui prévoie la réinjection d’ici 2 ans des 103 millions grâce à l’aide du gouvernement fédéral.

Or qui entend-on, en plus des gauchistes qui râlent parce que l’argent n’arrive pas tout de suite (les gauchistes ne connaissent pas le sens du mot compromis) ? Les souverainistes bien sûr, qui se trouvent en masse dans les milieux gauchistes et qui hurlent au scandale, à la propagande fédéraliste, parce que les sous ne viennent pas du gouvernement québécois mais du gouvernement canadien. On attend avec impatience quelles seront leurs prochaines revendications, puisque les crétins d’étudiants québécois, aussi dégénérés intellectuellement que leurs aînés, ont pour beaucoup d’entre eux rejetés l’offre et continuent la grève. Aura-t-on le droit à : « on veut les 103 millions du provincial, pas du fédéral » ?

Le seul avantage finalement de ces souverainistes lorsque l’on est français, c’est qu’à force ils nous font presque apprécier les corses…

 

 

Il y aurait sans doute encore beaucoup à dire sur les québécois et les canadiens, sur leur 8 pages de pub par film ; sur leur manie de franciser tous les mots anglophones (courriel pour mail, fin de semaine pour week-end, et plein d’autres petits trucs ridicules dont ils sont très fiers) alors qu’à côté de ça ils ne sont pas foutus d’utiliser un français correct et utilisent des anglicismes à tour de bras (checker pour vérifier, acter pour jouer, canceller pour annuler, flat pour pneu crevé, gamers pour joueurs…) ; sur leur nouveau hobby qui consiste à faire des grèves tout le temps (on se croirait en France, c’est dire) ; sur leurs prix qui ne sont pas taxés en rayon et qu’on taxe à la caisse (ce qui crée quelques mauvaises surprises les premières fois. Cette connerie vient d’un refus des commerçants des taxes gouvernementales et fédérales, et qui, pour protester, donnent le prix sans taxe, afin, disent-ils, de montrer aux clients le « vrai » prix qu’ils appliquent… Aussi stupides que le reste de la population les commerçants) …

Mais bon, nous nous contenterons des quelques éléments épars donnés précédemment, en conseillant à toute personne censée de ne pas venir dans ce foutu pays, ou bien si on ne peut pas faire autrement, d’aller uniquement dans le Canada anglophone : c’est laid, sans âme, mais les gens sont justes sans reliefs, pas complètement dégénérés par la consanguinité comme au Québec.

 

Brandon S., qui vit au Québec depuis 7 mois.

 

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