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POURQUOI LIRE DE LA PROPAGANDE CHRÉTIENNE FONDAMENTALISTE REND SCATOPHILE

 

Jack Chick est cet auteur de bandes dessinées Américain spécialisé dans la propagande d’extrême droite fondamentaliste Chrétienne, destinant le plus souvent son travail à un public en bas âge, et abordant souvent des thèmes chers à cette minorité religieuse bien pensante : l’Islam (c’est mal), l’homosexualité (c’est mal), le catholicisme (c’est mal), le rock (c’est mal), la franc-maçonnerie (c’est mal), le jeu de rôle (c’est mal), la théorie de l’évolution (c’est mal) et cætera, et avec pour argument principal « C’EST MAL ». Design des personnages traumatisants, argumentation bancale, manichéisme, racisme, haine, intolérance, simplisme et incitation à la foi aveugle constituent l’essence de ce monumental effort de destruction de l’intelligence dont les minorités extrémistes des grandes religions se sont faites les spécialistes, et dont Jack Chick représente sans doute le spécimen le plus croustillant…

La plupart des membres de la Badass Inc. évoluant dans une ville où ce genre d’individus forme une majorité visible et dont la progéniture ô combien fidèle aux préceptes qui leur furent inculqués dès le plus jeune âge (« Et ne va pas traîner en ville avec des arabes, ça donne des poux. Comme les juifs, les pauvres et les gens de gauche. ») fit partie de leur paysage scolaire pendant les années de la masturbation (collégienne notamment), c’est en gens bien placés pour en parler que nous ouvrons nos gueules : Il est maintenant scientifiquement, donc incontestablement, prouvé qu’avoir été soumis à une forme d’encadrement religieux similaire à celui dont Jack Chick se fait l’apôtre dans la petite enfance rend scatophile. D’ailleurs pour tout dire, l’extrémisme religieux chrétien en général à tendance à amener à ressentir plaisir et amusement à jouer de la manière la plus tactile possible avec son anus, et dans une plus grande mesure à érotiser et idéaliser sa propre région péri anale, et par extension celle des autres.

« Gratuité ! » hurlent sans doute les cons les plus endurcis en lisant ces lignes. « Oui, parfaitement, gratuité ! Anticléricalisme ! Matérialisme ! ». Et bien non, pas de gratuité, ni d’anticléricalisme et encore moins de matérialisme qui tienne. Nous avons un exemple sous la main qui illustre parfaitement à quel point quelqu’un peut être détraqué par une éducation dont les valeurs sont à peu de choses près celles prônées par des gens comme Philippe « les arabes, les noirs et les homos au piquet ! » De Villiers.

C’est ainsi que le jeune L***, fulgurant archétype du type de progéniture honteuse sus citée, que l’on pourrait croire bien pensant en raison de l’éducation rigoriste qu’il a reçu, est un fait un jeune homme outrancièrement fasciné par le processus pourtant naturel de l’excrétion par voie anale (qu’il ne se lasse pas d’observer, avec le souci ludique d’en apprendre toujours plus à ce sujet, le pantalon baissé devant un miroir, pour mieux voir l’étron tant recherché enfin poindre dans les replis de son rectum froncé) et par l’intrusion de ses propres doigts dans le même orifice saturé, et exercer son altruisme surdéveloppé en la matière en portant ses doigts aux senteurs interdites au nez de ses camarades de classe, parfois déstabilisés par la nature surprenante de la démarche à laquelle ils sont ainsi conviés, à savoir celle de « sens-y mon doigt qu’est allé dans mon cul, sachant que ça va faire depuis ce matin que je me retiens de chier et que je suis littéralement au bord de l’explosion. ».

On serait tenté au premier abord de qualifier ce jeune homme de connard très atteint, de cas freudien irrécupérable voire de pervers. On aurait tort de se priver. Mais est-il vraiment responsable de cet état lamentable dans lequel il est, qui le pousse parfois à chier dans des assiettes chez ses hôtes pour ensuite passer le tout au micro-ondes, dans l’espoir d’en apprendre encore plus sur l’essence intime de son meilleur ami, de son mentor, de son idéal existentiel : le gros caca ? La réponse est non.

L’unique responsable de ce revirement scatophilo-sodomite, c’est le terrible milieu social dans lequel le pauvre L*** évolue depuis sa plus tendre enfance, lequel est caractérisé par un « Jack Chik-like way of educating children » qui les rend au mieux cons et arrogants, au pire des satyres dans ce style.

Comme si tout ce cauchemar n’était déjà pas suffisant, il existe, c’est un fait avéré, de puissants lobbys, des groupes de pression aux ramifications indénombrables qui tiennent en leur joug des individus dans ce style, allant parfois même jusqu’à les encourager, même milieu social oblige, bref une sorte de société secrète ultra puissante qui protège même ses membres les plus honteux : les organisateurs et participants aux Rallyes.

Les Rallyes… Rassemblements monstrueux de jeunes appartenant au même milieu social, partageant les mêmes idéaux, ayant les mêmes valeurs, ayant reçus la même éducation. Le tout encadré par des parents soucieux de voir l’héritage du Mal se transmettre sans altération à leur progéniture, afin que l’esprit des Chouans ! ne se perde pas, et qui n’ont pas honte une seule seconde de passer « Enola Gay » en soirée, voulant que toute cette turpitude paraissent mondaine, et huppée. Mais surtout, un groupe de pression qui accueille, surprotège et coupe du monde des individus comme L***, lui empêchant sa seule chance de guérison envisageable pour l’instant : la thérapie de choc Otto Von S. © couplé avec le Lavement Freudien ©® (celui aux abeilles africaines).

Car peu importe le degré de monstruosité atteint par L***, peu importe que son gag du « sens mon doigt et devine c’est quoi » ou du « tu as fini ton assiette, je peux te l’emprunter deux secondes ? » soit éculé et archi connu par son entourage protecteur, il trouvera toujours quelqu’un, un ami généralement, pour l’encourager à faire sentir son index souillé à Géraldine tandis que l’innocente (mais tout de même complice) se déhanche furieusement sur « take on me » d’Aha, ou d’aller chier dans l’auge d’Irénée, uniquement sous prétexte qu’il y reste un peu de purée et que touiller de la merde chauffée au four avec de la mousseline est une expérience à ne rater sous aucun prétexte.

L’hypothèse en vigueur est donc que les rallyes sont essentiellement mis sur pied pour protéger ces pervers sexuels malgré eux du monde extérieur et de la déchéance qui s’impose quand ils se livrent publiquement à leurs séances de masturbation anale, seul moyen pour eux de parvenir à un orgasme tout relatif, et source d’amusement malsain pour un groupe d’amis secrètement admiratifs de la confiance qu’un type comme L*** peut avoir en ses sphincters et en les multiples étrons qui en subissent le précieux moulage. Car il est un point important à souligner, le scatophile/sodomite Jackchickien fascine son entourage proche. La phrase que doit entendre le plus souvent ce bon L*** lorsqu’il se regarde l’anus chez son hôte, dans l’espoir fébrile de leur montrer la lente arrivée de sa crotte, et le contrôle qu’il est parvenu à exercer sur son éjection à force de s’entraîner à attraper de petits objets avec la seule force de son sphincter, c’est « ouais vas-y, chie nous un bronze dans l’assiette d’Irénée ! » ou « woah trop cool, regardez on voit sa merde, on voit sa merde ! ». Ainsi, comme nous l’avons observé plus haut, l’entourage est le premier coupable dans une telle attitude de connard dérangé.

 

Conclusion : Jack Chick è Rallyes è Scatophilie.

 

>>EN BONUS, VENEZ LIRE LES BD DE JACK CHICK, C'EST TELLEMENT MARRANT<<

 

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