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Warlock II : Armaggedon

  

            J’avouerai une forme d’idéalisme de ma part quand je me disais, à l’époque où je n’avais pas encore vu ce film tout en connaissant son existence, que quoi qu’il arrive il ne pourrait pas être pire que le premier Warlock. Tant d’incohérences, de médiocrité, d’ennui et d’arrogance en un seul petit film m’étaient apparu comme un absolu impossible à surpasser, ni même à égaler et c’est dans cet état d’esprit fier et insouciant que je laissais un des membres de l’équipe Badass se le procurer en DVD pour une somme dérisoire (tandis que de mon côté je me fendais de Maximum Overdrive), toujours avec cette arrière pensée rassurante que dans le fond, il ne pouvait en aucun cas être pire que le premier.

 

            Quel con.

 

            Mais laissons de côté mon amertume et ma grossière erreur pour plonger dans le vif du sujet. Ce qu’un humain normal un tant soit peu naïf concernant le titre d’un film comportant « II, III voir IV » était en droit d’attendre de Warlock II : Armaggedon, c’était une suite logique par rapport au premier opus, déjà à lui seul une surdaube lamentable et ennuyeuse au possible, où nous le rappelons le personnage du Warlock, joué par le mirobolant Julian Sands, avait fait un fabuleux voyage dans le temps pour récupérer la bible de Satan et se faisait finalement détruire par une diabétique rancunière qui lui injecta de l’eau salée dans la carotide, ce qui eut pour effet une combustion spontanée cheap et son anéantissement. Difficile vu les circonstances de faire revenir ce méchant sans une excuse bidon, nous dirons-nous en bon cartésiens. Mais entendons-nous bien : si les nouveaux scénaristes avaient décidé de faire ressusciter Warlock par un stratagème outrancièrement con et bateau, on ne leur en aurait pas tenu rigueur, la série des Vendredi 13 et bien d’autres dans ce style ayant perduré grâce à des excuses ridicules mais toujours folk pour faire revenir le Bad Guy (et nous sommes nous-mêmes chez Badass Inc. loin de cracher sur les aventures de Jason quand se présente l’occasion de les suivre, peu importe le support vidéo).

Pour tout dire, faire revenir Warlock à la vie grâce à un orage satanique, un écoulement de produits chimiques sur son cadavre ou même l’ambition démesurée d’un savant fou qui aurait fait joujou avec sa dépouille carbonisée, des électrodes, un parapluie et des porcelets aurait été largement préférable à ce qu’on subit comme base conceptuelle pour la mise sur pied de Warlock II : Armaggedon. De fait, c’est tout doucement, tandis que le générique de début, un des plus laids et pompeux qui m’ai été donné de voir, défile et que l’intrigue s’installe qu’on reçoit la première gifle de la part des gens derrière ce projet ; Warlock II : Armaggedon, contrairement à toute attente, n’est pas du tout une suite à proprement parler de Warlock, mais au contraire une variation sur le thème de départ du premier film. On reprend donc le personnage principal, Warlock, toujours joué par Julian Sands avec cependant les cheveux plus courts, et on réarrange le magma indigeste du premier opus en gardant l’essentiel, à savoir le sorcier Satanique qui se retrouve à notre époque et qui doit aider Satan d’une manière ou d’une autre le plus violemment possible.

 

Vous qui ne l’avez pas vu, peut-être que l’idée ne vous paraît pas si stupide que ça. Si en plus vous avez vu le premier, vous devez vous dire que c’est même la meilleure idée que les responsables de ce carnage aient pu avoir, car « il est impossible de faire pire que Warlock, voyons ! ». Alors qu’en fait non. C’est en tentant de remanier le premier et de faire mieux, ce qui n’est à priori pas un luxe, qu’Ils ont réussi à faire pire, bien pire à tous les niveaux, parvenant même à élever Warlock à la catégorie des nanars soporifiques et non plus révoltants au détriment de sa suite qui peu facilement être tenu pour un des pires téléfilms de tous les temps.

Mais peu importe, afin de mieux cerner l’insulte qu’est ce film, penchons nous un peu sur l’intrigue.

 

            Tous les mille ans donc, pendant six jours, Dieu est totalement impuissant et n’a plus aucune emprise sur sa création. Ce qui est évidemment inconcevable du début à la fin, l’entité en question ne pouvant plus prétendre au qualificatif de « Dieu » si à un moment ou à un autre elle se retrouve impuissante face à ce qui est censé être en son pouvoir. Bref, c’est par une éclipse de Lune ultrarapide que la malfaisance de Satan se manifeste aux Hommes et pile au moment où cette même Lune (dont la taille dans le ciel du film laisse perplexe) est entièrement recouverte par l’ombre de la Terre, une jeune vierge est prise de convulsions, son ventre enfle et elle est censée donner naissance au fils de Satan qui une fois vivant aura pour mission de libérer son Père afin de lui permettre de régner sur l’Humanité et faire chier Dieu à fond.

Mais voilà, c’était sans compter les gentils Druides qui veillent au grain depuis des millénaires et qui se transmettent ce secret de génération en génération tant et si bien qu’arrivé le jour J., les Druides qui sont vivants à ce moment savent quoi faire, s’occupent de la jeune vierge avec leurs cailloux magiques et repoussent à nouveau l’échéance à dans mille ans. Mais voilà qu’il y a mille ans de cela pour nous, à peine fut terminée la cérémonie empêchant l’arrivée du fils de Satan que des cavaliers belliqueux débarquent dans la place et liquident sauvagement les Druides satisfaits et la pauvre conne attachée sous le Dolmen et s’emparent des pierres magiques sans aucun motif précis. Avant de définitivement rendre l’âme, le Chef des Druides, un sosie de Gandalf, s’agrippe avec agonie à l’épaule d’un des seuls survivants, un sosie d’Aragorn (notons les incessantes ressemblances entre les personnages des deux Warlock et ceux des films de Peter Jackson) et lui rappelle que si jamais rien n’est fait pour retrouver ces pierres d’ici mille ans, ça sera la merde pour tout le monde.

 

            Passons sur le fait que si les Druides ne pratiquaient pas un ésotérisme des plus malsains ce genre de couilles ne serait jamais arrivé, tout le monde aurait su à quoi servent ces pierres, que si on les vole aux druides c’est la fin des haricots et il n’y aurai eu personne pour les convoiter et foutre le Bronx là où il n’y en avait pas besoin, ainsi que sur le manque total d’explication quant aux possibles motivations des voleurs qui ont quand même été vachement bourrins et impitoyables pour s’emparer des cailloux magiques. Ils ne font que venir, tuer, prendre et repartir sans qu’on sache pourquoi. De plus, le leader de ces voleurs est filmé avec une insistance lourdingue de manière à ce qu’on se dise « hmmm, il a un rôle à jouer lui plus tard, attention » alors que non, pas du tout. Mais peu importe dans le fond, ce genre d’observations étant vouées à se perdre dans le Warp des réclamations-outrées-au-sujet-des-films-de-merde-qui-ne-se-verront-jamais-réparées, autant se faire une raison et continuer. Rappelons tout de même que le film vient à peine de commencer.

 

            Bref, nous revoilà à notre époque, en 1994 plus précisément, dans une grande ville Américaine. Il fait nuit et une jeune femme se prépare pour l’arrivée de son amant. Tandis qu’elle parle à son chien elle se saisit d’un pendentif d’une laideur impressionnante qu’on reconnaît, grâce un cadrage des plus subtils, comme étant une des pierres druidiques d’il y a moins de deux minutes.

 

A partir de là, tout se passe très vite.

 

La Lune (qui nous le rappelons a une taille dérangeante) se voit recouvrir par l’ombre de la Terre en l’espace de quelques secondes, ce qui a pour double effet de susciter un rire exaspéré de la part du spectateur et de faire vagir la brunasse, lui faire blanchir les yeux et tomber à la renverse sur la table, tandis que son ventre commence à grossir. A force de va-et-vient nauséeux de la caméra au raz du corps moite de la brune hurlante, on finit par comprendre qu’elle est tombée spontanément enceinte de Satan et que c’est n’est plus qu’une question de secondes avant que son vagin ne se dilate, que sa hanche ne se déboîte et que Julian Sands ne soit éjecté par sa fente palpitante, dans une projection d’excréments, de placenta et d’eaux diverses. C’est tandis qu’on se réjouit d’avance de ce que va donner cette scène (« Julian Sands projeté hors de la chatte d’une bonasse qui ne voyait pas sa soirée commencer de cette manière ! ») qu’une sorte d’étron bulbeux de la taille d’un ballon de rugby s’extrait mollement d’entre les jambes parfaites et chaudement écartées de la jeune femme et glisse au sol, cassant l’ambiance. Le premier réflexe quand on a des références cinématographiques douteuse, c’est de beugler « CREEPOZOÏD !!! » en montrant du doigt le cocon poisseux (qui vient d’atterrir mollement sur le parquais et qui commence à palpiter). Si l’on n’a pas eu la malchance de subir Creepozoïd, on sera juste normalement outré par tant de mauvais goût mal exploité et finalement  très prévisible.

 

Le cocon palpite, s’étale vaguement, défonce le chien de la dame qui était en train de le léchouiller et finit par doucement se transformer en Julian Sands. A ce moment, si on connaît vaguement le monsieur et qu’on l’a vu dans d’autres films, on se dit, non sans amertume « ohlàlà, on va encore voir sa bite. ». Car oui, Julian Sands est un acteur Anglais, très sophistiqué qui montre sa bite dans la plupart des films où il joue. Ne rigolez pas, une quéquette dans un film Américain c’est toujours une marque de raffinement très européen, dans un pays où les nichons et les culs sont rois. Et effectivement, on voit son pénis qui dodeline même un peu.

 

Julian Sands a vite fait de mettre à mort la brunasse qui met très longtemps à se traîner à l’autre bout de l’appartement, les jambes paralysées et pissant une quantité incroyable de sang qu’on devine sans trop de problèmes comme étant principalement utérin et les scénaristes de ré exploiter le concept du Warlock qui se sers d’une partie du corps d’une de ses victimes pour se guider (ici une carte des Etats-Unis apparaît sur la peau du ventre de la dame, est arrachée sans autre forme de procès et indique l’emplacement de toutes les pierres druidiques). Il se saisit finalement de la première pierre et un écoulement orangeatre digne d’un coloriage au feutre d’en enfant attardé recouvre l’avant bras de Warlock, pour nous suggérer un transfert de pouvoir (on aura droit à cet effet spécial ridicule à chaque fois qu’il se saisira d’une des pierres). C’est alors que l’amant sonne à la porte, Warlock la lui ouvre, nu, et c’est avec stupeur qu’on reconnaît Zach Galligan des deux Gremlins. Son apparition ne durera malheureusement pas plus longtemps, puisque Warlock s’est visiblement emparé de ses vêtements et l’a tué. Sa quête a enfin commencée : il devra récupérer toutes les pierres magiques en six jours afin de libérer Satan, son père, et utilisera comme moyen de transport le Taxi d’un puertoricain arrogant qui l’aura insulté dans la rue et qui mourra pour ça, tout en continuant de conduire sa tire dans un état de décomposition avancée.

 

            Nous voici ensuite dans un petit village anonyme de la campagne Américaine où les quatre descendants des druides de l’ancien temps (que l’on appellera les American Druids), dont un a délaissé ces croyances païennes pour devenir le pasteur de la communauté (joué par le formidable Bruce Glover, qui avait donné fut un temps toute sa coolitude rien que par sa gueule de connard à Mr. Wint, le collègue de Mr. Kidd, qui formaient à eux deux le couple d’assassins monstrueusement efficaces, mielleux et pénibles de « Diamonds are Forever »), commencent à subir des signes occultes de l’arrivée du Warlock. On retiendra notamment l’apparition régulière mais toujours impromptue et inexpliquée d’une rune en forme de « B » dont on ignore tout de la signification, sauf qu’elle fait flipper les trois chnoques et que le pasteur fait de son mieux pour avoir l’air de s’en branler à s’en péter le frein, alors que lui aussi a le trouillomètre à zéro. Le chef spirituel des American Druids (joué par Steve Kahan, le même acteur qui joue le chef de Mel Gibson et Danny Glover dans la série « L’Arme Fatale ») a un jeune fils, Kenny, qui est amoureux de la fille du Pasteur, Samantha, et à forces de signes annonciateurs de l’arrivée du mal sur Terre, le père décide d’abattre son fils avec un fusil de chasse et de le ramener à la vie par un rituel pourri à base de d’infusions. On assiste ici à une initiation occulte de base, sauf que la mort de l’initié qui est censée être métaphorique tout du long est ici très terre à terre (on a d’ailleurs droit à un plan expérimental quand Kenny est projeté au sol par le coup de fusil en pleine poitrine tiré à bout portant, ça fait toujours plaisir) mais a pour avantage de faire de Kenny un Warlock Hunter, le seul capable de défoncer le sorcier mano-a-mano. S’en suivra son entraînement spirituel, qui donne lieu à une scène d’admirable repompe de Star Wars, où Kenny s’entraîne à faire voler une balle de base-ball et à déplacer d’autres trucs par la force de son esprit. C’est niais.

 

            Pendant ce temps là, Warlock se balade un peu partout et défonce un à un les différents propriétaires des pierres magiques, toujours d’horribles connards arrogants qui subissent une mort aussi atroce que pas imaginative. Ainsi une styliste désagréable se verra défenestrée, un forain malhonnête se fera emprisonner dans une dimension parallèle de l’autre côté des miroirs pas déformants ni labyrinthiques de sa maison aux miroirs et un collectionneur d’art stressé se fera tordre, réduire et coloré par Warlock dans une tentative magnifiquement échouée de produire la même horreur du corps humain déformé, brisé et sculpté de manière perverse qu’on retrouve chez Clive Barker et notamment dans Hellraiser (on l’aura compris assez vite, Warlock II est un film à références). Pendant ce temps, un des quatre American Druids un peu trop téméraire vu son physique ingrat (campé par le regretté Charles Hallahan, qui jouait le patron de Rick Hunter à l’époque) et qui s’était mis en tête de se faire le Warlock à lui tout seul a évidemment échoué et en meurt vite sans autre forme de procès, rejoignant lui aussi l’enfer des personnages moches et inutiles pour tenir compagnie au papa cosmonaute du début de Metal Hurlant.

 

Tout ça tandis qu’à la campagne, la jeune Samantha est trop saoulée que son père le pasteur cool ne veuille pas faire d’elle une Warlock Hunteuse et finit par se planter un couteau de cuisine entre les deux seins de la manière la moins crédible possible, histoire de lui forcer la main. Ce qui a évidemment pour résultat de la faire ressusciter elle aussi avec ces infusions connes et de lui donner de super pouvoirs vraiment trop géniaux.

 Puis là le Warlock débarque, zigouille la bonne amie du père de Kenny en la crucifiant tête en bas devant la petite Eglise par pure gratuité et décide de commencer les hostilités. Il tranche les deux bras au plus vieux des American Druids et lui subtilise la dernière pierre magique, parvient à empaler Kenny sans trop de problèmes sur un bout de tuyau malgré les pouvoirs incommensurables que le jeune homme est censé posséder et permet ainsi, probablement contre son gré, à paver le terrain à la seule scène cool de tout le film :

            *Une rue déserte, un soleil de plomb, Warlock à un bout de la rue, le père de Kenny et le révérend à l’autre, munis de fusils atrocement longs et qui avancent doucement dans sa direction avant de faire feu.*

 

            Voilà elle est finie, parce qu’après une effusion débile de sang vert, Warlock se relève et les réduit au silence en leur tirant dessus à son tour mais avec ses doigts. Inutile de préciser que c’est mal rendu. Le papa de Kenny a cependant encore assez de force pour verser de l’infusion magique sur la blessure de son fils, qui peut enfin se relever. Pendant ce temps, Samantha est montée à moto avec une des pierres et se fait chasser par le Warlock à travers la campagne jusqu’à ce qu’elle arrive à un cercle druidique à base de Dolmens et de Menhirs, en plein milieu de cette même campagne Américaine qu’on a à priori pas quitté un seul instant.

 

Perplexité.

 

            L’incroyable tolérance du spectateur, qu’il est inutile de remettre en doute s’il est devant ce film et qui est tout de même mise à rude épreuve depuis déjà un bon moment, reçoit ici le coup de grâce. Impossible de garder son calme devant une connerie pareille, la rage est de rigueur et totalement compréhensible. Putain, même l’excuse du cimetière mésopotamien dans Evil Dead est moins conne, rien que parce qu’elle n’est pas sérieuse un seul instant. Là on a qu’une envie : c’est que Warlock tue les deux connards, libère Satan, le tue, tue Dieu et détruise tout ce qui a jamais existé. Une telle débauche de mort et de destruction aurait été le seul moyen de rattraper cette horreur, et on ne surprendra personne en déclarant que ce n’est pas du tout comme ça que ça se passe.

 

            En effet, Warlock a vite fait de totalement immobiliser les deux tourtereaux et de placer les six pierres de façon à ce que la lumière du jour subisse un filtre bleu qui finit de donner envie de pleurer au plus endurci des visionneurs. Le socle magique se fend et un Satan modélisé on sait pas trop avec quoi, sûrement un crayon de papier, commence à s’en extraire tout doucement. Là, Kenny se souvient que Satan craint la lumière. Il hurle à Samantha, qui est attachée à une dépanneuse, de concentrer ses forces avec les siennes pour allumer les projecteurs. C’est ce qui arrive. Satan hurle. Il disparaît et retourne en Enfer. Warlock est méga saoulé, essaye de punir Kenny mais reçoit la dague magique des American Druids dans l’épaule. Il gargouille, recommence à pisser du sang vert et meurt. Kenny et Samatha s’embrassent. Générique accompagné d’un Metal de la Fin obligatoire (un morceau de Nuclear Assault, le Slayer du pauvre du début des années 90).

 

            Pour conclure, on ne saurait trouver suffisamment de mots pour vous décrire à quel point Warlock II : Armageddon est un film d’une horreur qui dépasse l’entendement. Une grosse merde capable de donner des ulcères au plus coléreux et susceptible des cinéphiles tant ce film est con, mal fait, inutile et péteux. Un film dont la seule évocation pour les besoins de cette critique m’a plus d’une fois mis hors de moi, tout seul derrière mon écran, seul avec ces réminiscences de scènes toutes plus pénibles les unes que les autres. Et ça se ressent plus particulièrement lors de l’évocation de la fin.

 

 

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Points Négatifs : Ridicule, bâclé… Tous les adjectifs péjoratifs existant s’appliquent à ce film d’une manière ou d’une autre. D’un autre côté, pratiquement n’importe quel film à priori mauvais vous paraîtra acceptable après l’avoir vu. Mais bon.

 

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Points Positifs : Julian Sands est divinement insupportable, comme toujours. Le personnage du pasteur est cool. Le Metal de la Fin est tellement approprié et cliché qu’il contribue à détendre un peu l’atmosphère tandis que les lumières se rallument, mais ça n’empêchera pas de se sentir très sale pendant plusieurs heures après avoir vu ça.

 

 

 

 

 

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